C’était samedi, c’était à Château rouge (Annemasse) et c’était… tout juste ENORME ! Les Ladylike Dragons jouaient en première partie d’Izia mais ils méritent amplement un article pour eux tout seuls. Je vous parlais il y a quelques semaines de la sortie de leur tout premier « vrai » album, Heart Burst, l’heure est maintenant venue de le défendre là où l’on présente réellement un album (tout court, mais rock a fortiori), sur scène !
Déjà il faut situer le contexte, car l’histoire est belle. En octobre, Heart Burst vient de sortir et le trio joue dans un bar. Izia est la tête d’affiche de la salle de la ville, juste en face. Elle joue, sort, entend de la musique et va voir ce qu’il se passe. Ça lui plait, aussi elle leur propose de faire quelques unes de ses premières parties. Samedi soir était la première de ces dates, avant d’ouvrir au fil de la tournée pour Eiffel ou Pony Run Run. Cindy, chanteuse-bassiste, très sympathique à l’instar de l’ensemble du groupe, me raconte l’anecdote à la fin du concert, et franchement, ça fait plaisir de constater des histoires de ce genre dans le monde actuel de la musique !
Le concert s'ouvre sur The Ghost and the Living avant d'enchaîner sur Here to Last, inconnu de ceux qui n'ont écouté que l'album puis on revient a Heart Burst avec Like a Reptile pour enchaîner les titres de l'opus, avec une agréable reprise de l'Enfant Roi de Noir Désir et terminer en beauté sur Slavery et 13 minutes qui ouvrent l'album. Ils ne sont que trois mais remplissent vraiment la salle avec une batterie très présente et une jazzmaster menée de main de maître par un guitariste loin d'être avare en bends. Le son n'était peu être pas aussi bon qu'on l'aurait souhaité mais concert vraiment agréable ! Nous avons eu droit à du rock, du vrai. Comme quoi la relève du rock en France existe bel et bien, s'affranchissant au passage de l'étiquette trop souvent négative de "Rock français". Allez-y, c'est du bon !
Déjà il faut situer le contexte, car l’histoire est belle. En octobre, Heart Burst vient de sortir et le trio joue dans un bar. Izia est la tête d’affiche de la salle de la ville, juste en face. Elle joue, sort, entend de la musique et va voir ce qu’il se passe. Ça lui plait, aussi elle leur propose de faire quelques unes de ses premières parties. Samedi soir était la première de ces dates, avant d’ouvrir au fil de la tournée pour Eiffel ou Pony Run Run. Cindy, chanteuse-bassiste, très sympathique à l’instar de l’ensemble du groupe, me raconte l’anecdote à la fin du concert, et franchement, ça fait plaisir de constater des histoires de ce genre dans le monde actuel de la musique !
Le concert s'ouvre sur The Ghost and the Living avant d'enchaîner sur Here to Last, inconnu de ceux qui n'ont écouté que l'album puis on revient a Heart Burst avec Like a Reptile pour enchaîner les titres de l'opus, avec une agréable reprise de l'Enfant Roi de Noir Désir et terminer en beauté sur Slavery et 13 minutes qui ouvrent l'album. Ils ne sont que trois mais remplissent vraiment la salle avec une batterie très présente et une jazzmaster menée de main de maître par un guitariste loin d'être avare en bends. Le son n'était peu être pas aussi bon qu'on l'aurait souhaité mais concert vraiment agréable ! Nous avons eu droit à du rock, du vrai. Comme quoi la relève du rock en France existe bel et bien, s'affranchissant au passage de l'étiquette trop souvent négative de "Rock français". Allez-y, c'est du bon !
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